Goulier Cyrille

Boulangerie patisserie à Venarey les Laumes

Goulier Cyrille
1 10.5 20
36 av Dijon 21150 Venarey les Laumes

Contactez Goulier Cyrille à Venarey les Laumes

Adresse :
36 av Dijon
21150 VENAREY LES LAUMES 
Téléphone :
03 80 96 04 54 

1 avis sur Goulier Cyrille

1 Avis
Note de Goulier Cyrille
 
10.5/ 20
Ugo
Avis de sur Goulier Cyrille , le 06/04/2019
J’ai pris 1 rurale : correcte
Un croissant aux amandes : bon
Un chou aux fraises : bon
Ils ont des petits pain aux noix, chocolat et fromage
Et quand je demande un petit pain au chocolat la vendeuse me répond que c’est un petit pain aux pépites de chocolat et que je dois m’exprimer correctement !!!
Mauvais accueil, manque de politesse, reprend le client quand on ne dit pas correctement le nom d’un produit !!
Aïe aïe aïe le sens commercial
Bref note à la vendeuse : -5/5

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La symbolique du pain et le sentiment apporté aux consommateurs

Le pain a longtemps était considéré comme l'aliment du pauvre. Un ouvrier sans travail à qui on proposait un morceau de pain pouvait vite avoir l'impression de subir un affront dans ce type de proposition. Jusqu'au milieu du XIXème siècle, le pain blanc est assimilé à une nourriture pour les riches. Sans doute ces personnes qui achetaient ce pain n'en n'avaient pas conscience mais elles affichaient un certain snobisme. Cependant, ce pain blanc qui symbolisait la réussite sociale, est vite revendiqué par les moins fortunés qui se l'approprient.

La composition du pain évolue et arrivent sur le marché des pains bis à valeur nutritionnelle beaucoup plus évoluée. Ils deviennent l'accompagnant élégant sur nos tables pour la consommation régulière de nos plats. Sa popularité ne s'est cependant pas développée dans les pays anglo-saxons.

En France, d'une consommation de 450g observée en 1880, on est passé à 170g, un siècle plus tard et se positionne dans la moyenne européenne. Malgré l'engouement et les technicités nouvelles incitatives, une désaffection pour ce métier est constatée dans les dernières années du XXème siècle provoquant un nombre important de fermetures. La boulangerie artisanale doit faire face aujourd'hui à la Grande Distribution qui dispose de ses propres circuit de fabrication et de distribution. Mais le métier résiste mieux que d'autres types de commerce car il a su conserver cette proximité particulière qu'il entretient avec les gens depuis des années. Les boulangers ont su résister en développant encore plus de liens et en répondant au mieux aux attentes de leurs clients. Retravailler la tradition et redonner une image rassurante a permis d'étendre la fabrication du pain à des spécialités.

On trouve même aujourd'hui des appellations protégées. À compter de 1997, le terme de "boulangerie" est réservé aux seuls boulangers qui gèrent leur affaire, de la sélection des matières premières fraîches en passant par le pétrissage de la pâte jusqu'à la cuisson de leur pain.